Astuces bien être et conseils de beauté

Chez la femme, une chute de cheveux est vécue comme un drame. En effet, la chevelure constitue un élément central pour vivre la féminité. Lorsque les problèmes capillaires surviennent, le souci sera à la fois esthétique et psychologique.

Les pertes de cheveux irréversibles

L’alopécie reste la chute de cheveux la plus répandue pour la gent féminine. La production d’androgène déclenche une surexploitation des follicules pileux. À un moment donné, les cheveux sont réduits à une sorte de duvet. Après, plus rien ne pousse. On sait que ce dérèglement sera accentué par stress. Les hormones de substitution ou les contraceptifs aggravent l’alopécie féminine.   Les premiers symptômes apparaissent à la puberté. La calvitie sera l’apanage des hommes, car ils perdent leurs cheveux à partir de 30 ans. L’âge fera également perdre les cheveux aux dames.  

Chute de cheveux passagère et féminité

Les chutes de cheveux passagères jalonnent l’existence des femmes. On parle de perte passagère lorsque les cheveux tombent abondamment dans une période moins de trois mois. L’arrivée du bébé sera une occasion pour nos cheveux de partir en grande bande. La chute de la production d’œstrogène en est la cause. De ce fait, une fausse couche ou une interruption volontaire de la grossesse produisent le même effet. Le même problème apparaîtra à la ménopause. Outre les hormones, un choc émotionnel occasionne une perte de cheveux. Étonnamment, les chutes se passent tardivement dans les 2 mois qui suivent l’élément déclencheur. Les anesthésies par contre feront leurs effets en quelques jours. La coquetterie sera incriminée dans certains cas. Le port d’extension fragilise et arrache les tiges de manière diffuse. Dans la même liste de supplices, on trouve la permanente ainsi que les colorations.

Venir à bout de la perte de cheveux

Contre la chute de cheveux, il faudra faire beaucoup de prévention. Cela commence par une alimentation riche en fer et en acide aminés. Les nutriments n’empêchent pas les cheveux de tomber, mais contribuent à accélérer la repousse. Les traitements hormonaux pourront s’envisager avec l’aide du médecin. La carence en fer fait du tort à la chevelure. Les problèmes thyroïdiens se manifestent également par les chutes. Perte plutôt pathologique, la pelade se soigne lorsqu’elle est d’origine infectieuse. La perte due au stress sera inévitable. Tout ce qu’on pourra faire sera de booster notre métabolisme. Normalement, il faut trois mois pour retrouver sa chevelure normale. Bien attendus, les remèdes de grands-mères, dont le jojoba et le romarin ne sont pas à oublier.  

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